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Que dit la recherche sur l’hypnose et est-elle une ressource et est-elle reconnue dans le cadre de la médecine comme une approche complémentaire efficace?

La première question que je me pose est de comprendre pourquoi l’étude par l’INSERM est autant en décalage de « ma » réalité de thérapeute en hypnose, mais aussi  et surtout de toutes les autres études menées également dans des pays différents du nôtre, et que l’on puisse aller aussi loin dans cette étude ?

Je n’ai aucune réponse à ce jour, sauf si cela me semble logique sur le fait que ce soit une étude factuelle et non basée sur les subtilités qu’implique l’hypnose.

Je vais tenter par cet article, de trouver des études et/ou axes différents qui pour certains sont français et ont bénéficié de recherches pointues également, afin d’apporter un éclairage qui confirme ce que personnellement j’ai pu observer bien qu’il existe peu de données qualitatives concernant ses bénéfices*  il nous est possible d’entamer une observation plus large et probablement plus juste de la réalité de notre métier et définir la raison pour laquelle nous continuons à l’exercer MAIS SURTOUT savoir  pourquoi des personnes viennent à nous après avoir fait pour certains/nes le tour de toutes les autres thérapies existantes et auxquelles notre pays est plus habitué.

Les premières approches de l’hypnose confirmerait qu'elle est une approche complémentaire efficace

L'hypnose utilise une sorte de communication d'intélligence neurosensorielle,

• Il suffirait en moyenne de 4 séances pour qu'une personne qui vit une expèrience d'hypnose communique sur le fait qu'ils trouvent des choses dont ils ne se croyaient pas capable et à cela s'ajouterai une conscience autonome  dans l’utilisation de cet outil . J’observe également les mêmes effets et quelque fois bien avant la quatrième séance. 

• L’utilisation de cet "outil" ? Oui ? Un outil l’hypnose ? vieux débat: oui certainement. Les limites sont plus liées, je crois en la capacité de l’hypnothérapeute  il semblerait également que ce qui lie les humains que nous sommes, serait une « biologie de la relation »*neuroscience , que l’on pourrait qualifier comme dynamique quand d’autres la qualifierait de « quantique ». Tout cela ne représente que des mots et des considérations de la carte du monde  de chaque personne, le plus important, n’est-il pas de considérer et d’accepter que cela fonctionne ? Et là est l’essentiel peut être.

• Le bénéfice majeur a été ressenti une diminution de l’angoisse 

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